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PARIS, France : À l’occasion du congrès de l’ADF à Paris, qui s’est tenu la semaine dernière, quelques intervenants ont abordé cette année la question de la péri-implantite. Parmi eux, le professeur Anton Sculean, parodontologue de renommée internationale à l’Université de Berne, en Suisse, en a fait le sujet de sa conférence. Les données issues de revues scientifiques qu’il a présentées sont alarmantes.
Dans sa présentation intitulée « La péri-implantite, diagnostic et traitement, les dernières recommandations », le professeur Sculean a expliqué que la péri-implantite représente un problème mondial. Les études montrent une prévalence élevée, atteignant 22 %.1 Elle est également associée à une importante morbidité, en partie en raison des résultats globalement médiocres obtenus avec les traitements, qu’ils soient chirurgicaux ou non chirurgicaux.2–4 Selon le professeur Sculean, la clé de la prévention de la péri-implantite réside dans les tissus mous.
« Nous étudions un concept très prometteur, qui permet une attache solide à la muqueuse », a-t-il déclaré.
Le concept « zéro péri-implantite »
Sur le stand de Patent, les participants au congrès ont été étonnés d’apprendre que le système d’implants Patent péri-implantites, preuve à l’appui. La clé de ce résultat est le concept avancé de « zéro péri-implantite », validé par des preuves scientifiques, qui allie trois éléments principaux :
- la forme transmuqueuse de l’implant, sans micro-gap au niveau des tissus,
- l’étanchéité des tissus mous formant une barrière de protection pour les bactéries,
- la surface mucophile, favorisant une forte adhésion des tissus mous.
Ces trois éléments combinés s’opposent à la migration de la plaque, donc à la pénétration de bactéries dans les tissus mous et à la colonisation en profondeur de la zone biologique.
La preuve par les études de longue durée
Patent est le premier et le seul système d’implant au monde à avoir empêché les péri-implantites au cours de deux études à long terme. Les performances à long terme des implants Patent ont été étudiées par les universités de Düsseldorf en Allemagne et Graz en Autriche pendant une durée de 9 ans et jusqu’à 12 ans.5, 6 Le résultat : il n’y a pas eu de péri-implantites, même chez les patients à risques présentant des affections générales et/ou des inflammations chroniques (diabète, cancer, sclérose en plaques ou parodontite) ou chez les gros fumeurs. L’apparition d’une mucosite péri-implantaire est également restée très faible dans les deux études, de 10 à 13 %. Ces résultats montrent clairement que des technologies et concepts avancés permettent aujourd’hui d’éviter les péri-implantites.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.mypatent.com.
Note éditoriale:
Une liste complète des références est disponible ici.
Mots clés:
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