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Le mois de juin aura été riche en nouvelles pouvant affecter les patients et professionnels de santé. Il ne sera pas passé inaperçu que le Conseil d’analyse économique a annoncé les résultats de son rapport sur le cannabis et ses produits dérivés. La prohibition pourrait toucher à sa fin avec, à la clef pour l’état, 2,8 milliards de recettes à la faveur d’un monopole public, avec un prix de vente démarrant au gramme à 9 euros – prix inférieur à celui de 11 euros constaté dans la rue. Ici, on ne tient pas encore compte des réductions de coûts pour les douanes (ministère des Finances), la police (ministère de l’Intérieur), la justice, incluant tant les tribunaux que les services carcéraux (ministère de la Justice).
En effet, c’est une véritable révolution qui se prépare avec l’ouverture d’opportunités économiques, et le cas échéant thérapeutiques.
Sans pour autant y voir de lien de causalité, comment ne pas relever que c’est aussi au mois de juin que la Haute Autorité de la santé a soudainement soumis son rapport à sa ministre de tutelle, annonçant que l’homéopathie n’ayant pas d’effet probant, son déremboursement par la sécurité sociale allait bientôt être effectif ?
On pourrait y voir une stratégie qui se met en place. Si à ce jour le gouvernement ne semble pas en faveur de la légalisation du cannabis, il a été constaté comme dans d’autres pays ayant légalisé sa consommation, que la répression n’est pas aussi bénéfique que l’encadrement public, avec une attribution du revenu de ces ventes vers la prévention, la recherche et la santé.
L’homéopathie restera, son prix fluctuera plus intensément, sa consommation évoluera. Le cannabis, lui, pourra devenir dans certains cas son produit légal de substitution.
Mais quelles molécules se verraient-elles aussi concurrencées par le cannabis ? Le paracétamol, l’ibuprofène et bien plus encore.
Seuls les laboratoires d’homéopathie sont actuellement véhéments sur le sujet, jusqu’à des interruptions de cotations en bourse.
Mais à terme, l’entrée de cette substance sur le marché légal, et de surcroît gérée par l’État, laisse présager d’autres levers de boucliers.
La profession est-elle contre ? Les avis sont partagés. Malgré une campagne d’information en Belgique menée en 2018 par les dentistes belges, chacun sait que l’on est face à des chiffres mal appréciés de la consommation, associés à un manque d’études au long cours.
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