La lumière bleue perturbe le cycle du sommeil

Search Dental Tribune

La lumière bleue perturbe le cycle du sommeil

Suite à la publication de l'ANSES, Degré K, leader de l'éclairage dentaire et médical, réaffirme son engagement pour le bien-être de ses clients. (Shutterstock/Borysevych.com)

ven. 17 mai 2019

Enregistrer

Ce mardi 14 Mai 2019, L’ANSES a publié une sérieuse mise en garde relative à la lumière bleue des LED, en particulier celle des LED froides 6500K utilisées en médecine bucco-dentaire. Ce communiqué s’appuie sur les dernières parutions scientifiques à ce sujet et en particulier sur une vaste étude analysant les risques de la pointe de bleu sur la vision et sur l’horloge chronobiologique

Les nouvelles données scientifiques confortent le résultat de 2010 sur la toxicité de la lumière bleue pour l’œil qui peut conduire à une baisse de la vue. Elles montrent des effets phototoxiques à court terme liés à une exposition aiguë et des effets à long terme liés à une exposition chronique, qui augmentent le risque de survenue d’une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Les éclairages domestiques à LED de type « blanc chaud » ne se distinguent pas des éclairages traditionnels et présentent un faible risque de phototoxicité. En revanche, d’autres types d’éclairage à LED tels que des lampes torches, des phares automobiles, des décorations ou des jouets, peuvent émettre des lumières particulièrement riches en bleu et appartenir au groupe de risque 2, mais ils ne sont pas couverts par la réglementation actuelle.

Par ailleurs, l’expertise met en évidence qu’une exposition, même très faible, à de la lumière riche en bleu le soir ou la nuit, perturbe les rythmes biologiques et donc le sommeil. L’Anses souligne que les écrans notamment d’ordinateurs, de smartphones et de tablettes constituent des sources importantes de lumière riche en bleu.

Dans le cadre du chirurgien-dentiste, ce type de LED est notamment présent dans certaines loupes, instruments rotatifs, scialytiques et plafonniers des cabinets dentaires.

L’expertise montre également qu’une forte proportion de lampes à LED présente des variations importantes de l’intensité lumineuse. Certaines populations, dont les chirurgiens-dentistes, pourraient être plus sensibles aux effets potentiels induits par cette modulation de la lumière : maux de tête, fatigue visuelle, risque accidentel perturbation du sommeil des utilisateurs etc.

L’éclairage des cabinets dentaires utilisant des LED froides à forte pointe de bleu a des conséquences sur la vue, le bien-être et la santé des opérateurs.

Bien avant les recommandations de l’ANSES, Degré K a fait de la protection de la santé des chirurgiens-dentistes sa priorité. Il y a plus de 10 ans, la société française a été le premier acteur à innover pour répondre à cette problématique. Cette innovation c’est le BLUE CONTROL, une technologie intégrée aux éclairages Degré K, qui restreint drastiquement la pointe de lumière bleue.

Mots clés:
advertisement
advertisement